Tifet, sculptrice qui redonne la vie
Autodidacte, j’ai commencé la sculpture comme une une évidence, après 25 années de peinture, patines, trompe l’œil, peinture sur bois.
L’être humain reste mon sujet préféré.
J’ai été surnommé la «sankh» en égyptien, «sculpteur qui redonne la vie», par mes amis égyptiens, pour mon travail sur les portraits. L’Egypte est mon pays de coeur et j’aime par mon travail retrouver l’âme des artisans d’autrefois pour façonner dans l’argile leur histoire.
Retrouvez le temps d’un week-end, un(e) artisan(e) en démonstration
Prochainement les 17 et 18 juin : La petite fabrique de papier